Tout un été d’écriture, de juin à septembre, quatre mois pour construire une ville avec des mots, tous ensemble, chantier collaboratif et quasi quotidien...
PROPOSITIONS #1 à #10
cycle d’ouverture, un retour
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 Cycle 1, #01 à #10
 Cycle 1, #01 à #10
						Tout un été d’écriture, de juin à septembre, quatre mois pour construire une ville avec des mots, tous ensemble, chantier collaboratif et quasi quotidien...
PROPOSITIONS #1 à #10
cycle d’ouverture, un retour
 Cycle 2, #11 à #20
 Cycle 2, #11 à #20
						Tout un été d’écriture, de juin à septembre, quatre mois pour construire une ville avec des mots, tous ensemble, chantier collaboratif et quasi quotidien...
PROPOSITIONS #11 à #20
2e cycle : flottements, renverses
 Salon du Livrion Image-texte 3
 Salon du Livrion Image-texte 3
						Ma chérie,
J’espère que ce message te parviendra. Je ne sais pas quand, ni où tu seras… Dès maintenant ? Bien plus tard ? Peut-être l’as-tu déjà reçu.
 #01, renversement Koltès
 #01, renversement Koltès
						PROPOSITION
Nouveau cycle d’atelier, entre écriture et film. Ici un simple exercice de transcription.
Au-delà d’écrire un scénario de film, Bernard-Marie Koltès a réalisé le film qu’il avait en tête sous la forme d’un livre, Nickel Stuff (Éditions de Minuit). Un mouvement de l’écrit vers le film que nous voyons à sa lecture. Le renversement Koltès de la proposition consiste donc à effectuer le processus inverse.
 Salon du Livrion Image-texte 2
 Salon du Livrion Image-texte 2
						Est-ce que j’ai fait le bon choix ? Tout ça est trop fort. J’ai mal au crâne. Ce serait ça mon nouveau monde ?
Je sens malgré la chaleur ambiante les rayons du soleil sur mon visage.
 Salon du Livrion Image-texte 1
 Salon du Livrion Image-texte 1
						Qu’est-ce que c’est que ce putain de truc !
Jamais vu un machin pareil… Ça te dit quelque chose toi ?
 #04, enquête avec Modiano
 #04, enquête avec Modiano
						PROPOSITION
"Le projet : identifier l’intuition de ce qui pour chacun de nous est le territoire du livre à venir, le point tremblant du récit.
Accepter que cette intuition soit fondée sur très peu, ne nous laisserait pas commencer d’écrire.
Et travailler alors sur tout ce qui progressivement va nous relier à elle. Démarches, recherches, souvenirs, lieux, documentation : la marche qui doit solidifier notre chemin vers le récit va devenir ce récit lui-même..."
 #03, Comment j’ai fait
 #03, Comment j’ai fait
						PROPOSITION
« Le but, ou la cible, résolument : comment se forme et se solidifie une intuition, comment l’intuition ne donne pas de suite les pistes du travail, et puis qu’à un moment donné cela bascule, et on n’est plus absorbé que par la fabrication, le temps matériel du « faire », le verbe étant ici l’élément central ». En se concentrant sur deux textes de Marguerite Duras, qui a parfois fait de la question même du faire l’objet central d’un projet, « Le bloc noir », dans Vie matérielle, et « Comment j’ai fait. » issu des Notes pour rien, partons explorer ce faire, ce pré-faire.
 Cycle 3, #21 à #30
 Cycle 3, #21 à #30
						Tout un été d’écriture, de juin à septembre, quatre mois pour construire une ville avec des mots, tous ensemble, chantier collaboratif et quasi quotidien...
PROPOSITIONS #21 à #30
3e cycle : constructions, géométries
 #02, J’ai trois souvenirs de films...
 #02, J’ai trois souvenirs de films...
						PROPOSITION
Dans W ou le souvenir d’enfance (L’imaginaire Gallimard), Georges Perec évoque, notamment, ses souvenirs de lectures sous la formule « J’ai trois souvenirs d’école ». Ou les dérives de la mémoire, ses associations, ses recompositions...
Partons à notre tour vers ce voyage à contre courant : « J’ai trois souvenirs de films ».
