Têtes de bois
Ceci n’est pas une nature morte
En jouant sur le phénomène de paréidolie [1], j’ai voulu m’amuser à interroger la capacité que nous avons à modeler notre environnement, et donc le monde, la nature,
à notre image...
Interroger la place que prend notre humanité.
Et, par le biais de cet anthropomorphisme, susciter, pourquoi pas, un peu d’empathie.
[1] le fait de reconnaitre des formes spécifiques, notamment des visages, dans des éléments qui n’en contiennent pas objectivement
P.-S.
P.-S.1 — En recherche de lieux où exposer, n’hésitez pas à me contacter
P.-S.2 — [Ajout 19/08/2019] Partagez maintenant vos propres photos de Têtes de bois ici, et sur vos réseaux avec le hashtag #TetesDeBois